10 plantes pour mieux dormir
Des difficultés à trouver le sommeil, réveil nocturne, agitation… Pour éviter la prise de somnifères, penchez-vous sur des méthodes douces et naturelles, inoffensives pour l’organisme. Certaines plantes se révèlent très efficaces contre les insomnies. Découvrez lesquelles et comment les consommer.
La camomille
L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) reconnaît l’usage de la camomille pour soulager l’agitation nerveuse et l’insomnie mineure. Consommée en tisane depuis des siècles à l’heure du coucher, on attribue habituellement les effets calmants et sédatifs de la plante à l’apigénine, une des substances actives qu’elle contient.
Posologie : laissez infuser 1 cuillère à soupe (= à table) de camomille séchée dans de l’eau bouillante.
La valériane
La valériane était employée par les romains dans l’Antiquité pour combattre les palpitations et l’arythmie. Aujourd’hui, l’OMS reconnaît son efficacité pour lutter contre l’agitation nerveuse, l’anxiété et l’insomnie, des troubles souvent liés.
Posologie : la valériane peut être consommée de différentes façons : en tisane, à base de racines séchées (l’odeur est cependant désagréable), en gélules, en teinture ou en granulés homéopathiques.
La mélisse
Une étude1 révèle que la combinaison de mélisse et de valériane serait aussi efficace que le triazolam, un somnifère chimique, en raison de leurs propriétés calmantes, sédatives et hypnotiques.
Posologie : elle peut être consommée sous forme de tisane, de teinture et en extrait liquide. L’huile essentielle de mélisse diluée avec une huile végétale est très efficace en massage le long de la colonne vertébrale.
Le tilleul
Originaire d’Europe, le tilleul est certainement l’une des plantes les plus connues pour lutter contre les troubles du sommeil. C’est la fleur du tilleul et non son écorce, utilisée pour soigner des maux différents, qui a un effet apaisant et hypnotique reconnu.
Posologie : laissez infuser 3 à 4 fleurs de tilleul séchées dans de l’eau bouillante. A consommer plusieurs fois par jour.
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Source :
www.passeportsanté.net : article mis en ligne le 6 février 2014